Éditorial

en collaboration avec l’équipe des HTMlles 10

Ce numéro de DPI s’organise autour d’une nouvelle lecture de la mode en rapport avec la technologie, par la mise en œuvre de ses matériaux, mais aussi par la mise en volume de sa structure,

Chaque individu occupe un espace d'une manière qui lui est propre, une manière influencée par et influençant ses croyances et ses expériences.

.dpi 21 est le deuxième numéro d'une série de trois publications qui aborde la thématique de liberté en examinant les pratiques de plusieurs artistes et auteures multimédia contemporaines dans leur participation à des actions visant la liberté.

Clamée dans les hymnes, les actes ou les devises et enjeux d'actualité majeur en Iran, au Liban, en Turquie, en Egypte ou encore au Yémen, la liberté est un principe fondamental de bon nombre de sociétés démocratiques actuelles. Pourtant, cette conception universelle semble systématiquement désavouée dans nos sociétés dites « virtuelles ».

L'immensité de l'univers digital peut parfois sembler difficile à saisir - voilà pourquoi .dpi 19 a décidé de se renseigner directement. Lancé en conjonction avec la 9ieme édition du Festival HTMlles du Studio XX, ce numéro appelait à des contributions sur le thème de <terre></d'appartenance>, qui traite de notions artistiques et théoriques sur la localité, la domesticité, l'identité, l'appartenance, la communauté et le territoire en relation avec la culture canadienne et québécoise.

La surabondance d'images violentes qui circulent dans les médias suscite, depuis déjà plusieurs années, d'importantes préoccupations de la part de théoriciens en provenance de diverses disciplines. Ces préoccupations sont guidées par la crainte voulant que la mise en spectacle de la douleur humaine promeuve des actes réels de violence tout en désensibilisant son public à la souffrance des autres.

“J’entrevois un avenir formidable pour les femmes en architecture, particulièrement en raison de tous les bouleversements qui secouent la société à l’heure actuelle. Selon moi, les femmes sont extrêmement douées pour faire face aux bouleversements.”
Catherine Chard Wisnicki,
première diplômée en architecture de l’Université McGill